1848, retour de manif au lendemain de la proclamation de la 2ème République : joutes vives, empoignades et exposés didactiques s’entrecoupent dans une formidable énergie collective.

Sylvain Creuzevault, s’emparant une fois de plus, en homme de théâtre, de la question politique, se garde de la posture de donneur de leçons. Aucune réponse n’est assénée, un questionnement tous azimuts est en oeuvre, ne dédaignant pas la poésie ou l’absurde et ne craignant pas la complexité au plus près d’une pensée en ébullition. Une réjouissante assemblée générale dont les enjeux politiques sont les nôtres.